3 mai 2018 – Premièrs contacts avec “La Fluviale”

  • beaty04-vig

Comme nous habitons maintenant en bord de Seine, il était logique qu’à un moment ou un autre, l’envie se fasse pressente de faire connaissance avec “La Fluviale”. Bien nous en a pris !

Après quelques recherches sur Internet, je tombe sur un site qui me semble avoir été conçu juste pour moi !
Là vous pouvez choisir de louer une embarcation, du bateau sans permis de 2,40m  jusqu’au porte-avion (là, j’exagère un peux, je n’ai pas essayé), avec ou sans pilote, skipper ou amiral (suivant la taille de l’embarcation).
Ni une ni deux, je tape “Draveil” car je sais – malin comme un singe que je suis – qu’il y a un port à Draveil, de l’autre côté de la Seine, avec plein de bateaux… et… si je peux me permettre, cerise sur le bateau… ce port s’appelle le “Port aux cerises” !
En deux coups de cuillère à peau, enfin en deux clic, je tombe sur le “Beati”, une vedette hollandaise de 13 mètres que je réserve illico pour le 3 mai pour 7 personnes, car nous ne sommes pas les seuls dans notre belle usine en bord de Seine à vouloir tâter de “La fluviale”…
Bonne pioche !
Joël Le Mercier, le proprio du bateau, surnommé l’Amiral nous embarque le 3 mai au pied de notre “home sweet home” pour la journée à la découverte de la Seine et de la Marne…
Nous en prenons plein les mirettes le long du fleuve et de son affluent, au passage des écluses et des tunnels (oui, oui, il y a des tunnels pour les bateaux) et Joël qui connaît chaque embarcation que nous croisons – sans manquer d’accompagner l’événement d’un joyeux “Toooot Toooot” – nous régale de dizaines d’anecdotes car c’est non seulement un bon pilote mais LE pilote auquel on fait appel en cas de pépin ou de gros coup dur pour “démerder” les affaires délicates… et il y en a… des affaires délicates.
Un bateau en panne, un bateau un peu trop large pour passer l’écluse sans “chausse-pied”, un proprio de péniche habitable qui n’avait pas pensé à son carénage (obligatoire tous les dix ans) et qui n’a jamais piloté autre chose qu’une Twingo, ou pire – appelé par les pompiers – un noyé à repêcher…
Dans ces cas là, c’est Joël qu’on appelle et qui s’y colle.
Si vous voulez en savoir plus sur Joël, le Beati et son projet “Rives en rêves”, cliquez ici.
Bref, on a passé un super moment et je compte bien passer prochainement mon permis “Eaux Intérieures” pour devenir à mon tour “Capitaine” de la “Fluviale” !
Petit reportage…

 

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